On croyait NVIDIA rassasié, mais le voilà qui remet le couvert avec une nouvelle « superpuce », la puce B200 ! 

Une annonce qui secoue le landerneau de l’IA, car cette puce renforce encore le quasi-monopole de Nvidia sur ce juteux marché. 

Le mastodonte américain truste déjà 80% du secteur… De quoi donner des boutons à la concurrence ! 

Mais que peut-on reprocher à Nvidia, si ce n’est d’être trop fort ? 

Car cette nouvelle puce s’annonce comme un bijou de technologie. Puissance décuplée, entraînement d’IA complexes, rapidité de prédiction pour ChatGPT… Tout y est ! 

Difficile de résister à ce concentré de prouesses siliconées. 

Pourtant, certains s’inquiètent. Cette domination écrasante ne risque-t-elle pas de créer une bulle spéculative ?

Le PDG Jensen Huang, devenu milliardaire, se défend de toute frénésie. Son but ? Permettre à l’IA de prédire même la météo ! 

Mais les chiffres sont têtus : 30 à 40 000 dollars le prix de la puce, pour 6000 dollars de fabrication…

Une marge indécente qui alimente les « soupçons » de monopole.

Car si Nvidia est seul maître à bord, qui fixera un juste prix pour ces puces ?

Voilà le vrai danger : cette dépendance à un acteur tout-puissant, en situation de dicter sa loi…

Alors oui, applaudissons les prouesses technologiques de Nvidia. Mais restons vigilants : les monopoles profitent rarement au plus grand nombre !