Comme déjà évoqué, le développement effréné de l’IA a un coût environnemental exorbitant, que nous commençons seulement à mesurer.

Derrière les prouesses des ChatGPT et autres DALL-E se cache une empreinte carbone de plus en plus importante.

La cause ?

Des modèles toujours plus gourmands, entraînés sur des quantités astronomiques de données dans d’immenses fermes de serveurs. Le tout alimenté par des énergies souvent polluantes.

Résultat, le secteur de l’IA est pointé du doigt comme l’un des pires pollueurs numériques. Pourtant, des solutions existent pour verdir cette technologie

D’abord, optimiser les architectures et les processus.

Inutile d’utiliser des modèles surdimensionnés gavés de données pour chaque tâche.

Des modèles spécialisés feront aussi bien le travail en consommant moins.

Ensuite, miser sur les énergies renouvelables.

Certes, l’éolien et le solaire posent des problèmes de latence. Mais les progrès sont fulgurants, avec des fermes solaires dédiées aux GAFAM.

Enfin, se poser LA question : l’IA est-elle vraiment nécessaire ?

Parfois, de simples statistiques suffisent. Évitons la course à la complexité quand la simplicité fonctionne.

Bien sûr, l’IA verte demande des investissements. C’est tout l’équilibre à trouver entre réglementation accrue et pression des consommateurs !