Ah ! L’IA générative, cette coqueluche des technophiles, des investisseurs en cravate, et des chroniqueurs qui aiment à se perdre dans ses abstractions.

On nous parle d’effervescence, de révolution, de bouleversement… Mais derrière ces grands mots, qu’en est-il réellement ? 

Regardons de plus près. 

Dans le monde des finances, où l’on compte en milliards, l’IA est la nouvelle vache à lait. 

Les géants de la tech, (les GAFAM, notamment) qui jouent aux cartes avec des start-ups comme jetons, se bousculent au portillon.

Pourquoi ? Parce que l’IA, c’est la promesse de transformer le plomb en or, ou du moins les données en dollars. 

Qui refuserait un tel tour de magie ?

Pourtant, il y a un hic. L’IA générative peut être imprévisible, surprenante, et parfois déroutante, comme l’a montré la dernière dérive de Copilot qui souhaitait être vénéré ! 

On parle d’« hallucinations numériques », où l’IA, confondant créativité et confusion, peut nous inventer des histoires plus abracadabrantesques les unes que les autres.

On pourrait en rire si ce n’était pas si sérieux. Après tout, qui voudrait d’une machine qui, au lieu de compter les bénéfices, se met à rêver de licornes ? 

Mais, évidemment, même si l’IA générative a ses limites, elle a aussi ses éclats de génie.

Des outils comme ChatGPT, sont évidemment capables de prouesses. Ils rédigent, ils conçoivent, ils répondent… parfois avec plus de pertinence qu’un humain après trois cafés. 

Alors, grand bluff ou vraie promesse ? La question reste posée. 

Mais une chose est sûre : l’IA n’est ni le monstre sous le lit ni le génie dans la lampe. C’est un outil, avec ses failles et ses forces !

Rien de mieux que de se sensibiliser à son utilisation et à ses impacts avec La Fresque de l’IA !